Dans ce PepTalk, je vous parle de la vie, de nos choix et des imprévus que l’on rencontre.
Bonjour ! La semaine dernière, j’ai eu l’occasion de faire un petit voyage éclair dans l’état de la Géorgie aux États-Unis, plus précisément dans la ville de Savannah. C’est une ville qui a une histoire importante, surtout à cause de la guerre de Sécession, les sudistes contre les nordistes, pour l’abolition de l’esclavage, à la fin des années 1800.
J’ai aussi visité LE parc où été tourné le fameux film Forrest Gump, qui est un de mes films favoris. Si vous l’avez vu vous aussi, vous vous souvenez sûrement qu’au début et à la fin du film, Forrest Gump est assis sur un banc de parc, une plume virevoltant autour de lui. Il raconte à une dame assise à côté de lui : « Ma mère disait toujours, la vie est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur lequel on va tomber. »
C’est vrai, mais j’aime bien apporter une petite nuance à ça. Oui, la vie est comme une boîte de chocolats, dans le sens qu’elle nous réserve des surprises, des bonnes ou des moins bonnes.
Mais encore, faut-il avoir une boîte de chocolats ?
Je vous explique mon analogie. Pour tomber sur un bon ou un moins bon chocolat, il faut avoir une boîte de chocolats, c’est-à-dire qu’il faut avoir décidé d’un projet, d’un plan d’action, d’objectif. Et durant ce chemin, ce parcours, on va tomber sur des bonnes choses ou des moins bonnes, mais dans le parcours/boîte chocolats qu’on aura choisi.
Lorsqu’on ne choisit pas d’avoir des objectifs, ou un plan d’action, ou une vision de notre vie, on n’est pas dans la boîte de chocolats. On est dans la boîte au sens large de la vie, on peut tomber sur des bonnes et moins bonnes choses, mais on n’est pas dans le chocolat.
Donc, j’espère que vous pourrez vous choisir une boîte de chocolats, la boîte qui correspond à vos aspirations, à vos rêves, vos projets, vos idées et pour vous rendre à l’endroit où vous allez, vous allez probablement tomber sur des bons ou moins bons chocolats, des choses que vous allez aimer, d’autres moins, mais vous serez quand même dans le terrain de jeu de la boîte de chocolats.
Alors voilà, c’était mon petit bonjour de ce mois-ci. On se revoit dans un mois.